CE SOIR SPECTACLE COMPLET
23 ET 24 JUIN 2010
16h et 21h
Le Studio de Formation Théâtrale est heureux de vous convier à la présentation des travaux d'élèves.
Les Histoires D'A.
Mise en scène de Florian Sitbon
Conception chorégraphique de Fatima N'Doye
Lumière : Cylia Trocmée
Assistante à la mise en scène : Anne-Charlotte Piau
Dramaturgie : Stéphanie Aflalo, Thomas Ciolczyk, Simon Erhard, Valentine de Montalembert, Anne-Valérie Payet
Costumes : Pauline Cassan, Fleur Geffrier, Anne-Valérie Payet
Assistants son : Antoine Barberet, Ninon Defalvard, Victoire-Lou Leboucher, Adrien Urbin
Accessoires et décor : Garance Blanche, Ugo Fiore
Conception chorégraphique de Fatima N'Doye
Lumière : Cylia Trocmée
Assistante à la mise en scène : Anne-Charlotte Piau
Dramaturgie : Stéphanie Aflalo, Thomas Ciolczyk, Simon Erhard, Valentine de Montalembert, Anne-Valérie Payet
Costumes : Pauline Cassan, Fleur Geffrier, Anne-Valérie Payet
Assistants son : Antoine Barberet, Ninon Defalvard, Victoire-Lou Leboucher, Adrien Urbin
Accessoires et décor : Garance Blanche, Ugo Fiore
"Une longue chaine d'équivalence lie tous les amoureux du monde"
écrit Roland Barthes dans Fragments d'un discours amoureux.
Si les histoires d'amour sont toutes uniques, ne peut-on pas cependant soutenir l'existence
d'une figure amoureuse intemporelle, résistant à l'espace, au temps, aux individus eux-mêmes ?
Tenter de comprendre les mécanismes de l'amour, d'en étudier ses ressorts sans pour autant nier l'authenticité et la singularité de chaque histoire.
Du coup de foudre à l'inclinaison hésitante, des subtiles stratégies pour attirer le regard de l'autre aux déclarations passionnées, de l'euphorie au désespoir le plus profond, de Marivaux à la Nouvelle Vague : c'est le projet des Histoires d'A.
Comme les reflets dans un kaléidoscope, des textes d'Ovide, Marivaux, Roland Barthes, Eric Rohmer et François Truffaut forment un jeu d'échos, de contraste, un chant commun de tous les auteurs et acteurs, malgré leurs voix disparates.
écrit Roland Barthes dans Fragments d'un discours amoureux.
Si les histoires d'amour sont toutes uniques, ne peut-on pas cependant soutenir l'existence
d'une figure amoureuse intemporelle, résistant à l'espace, au temps, aux individus eux-mêmes ?
Tenter de comprendre les mécanismes de l'amour, d'en étudier ses ressorts sans pour autant nier l'authenticité et la singularité de chaque histoire.
Du coup de foudre à l'inclinaison hésitante, des subtiles stratégies pour attirer le regard de l'autre aux déclarations passionnées, de l'euphorie au désespoir le plus profond, de Marivaux à la Nouvelle Vague : c'est le projet des Histoires d'A.
Comme les reflets dans un kaléidoscope, des textes d'Ovide, Marivaux, Roland Barthes, Eric Rohmer et François Truffaut forment un jeu d'échos, de contraste, un chant commun de tous les auteurs et acteurs, malgré leurs voix disparates.
Lavoir Moderne Parisien, 35 rue Léon, 75018 Paris (ligne 4 - Château rouge)
Tarifs : 12€ et 8€
Réservations : 01 45 21 95 50
PROCHAIN SPECTACLE
LE 22, 23 ET 24 JUIN 2010
...ANTICIPATIONS...
(image de aakashà)
Le kaléidoscope est l'idée à la base du spectacle de fin d'année des élèves.
Des textes de Marivaux et Ovide, Barthes, Rohmer et Truffaut joueront le jeu de cette illusion d'optique, ils affirmeront et se répondront, entrelacés et liés comme les reflets dans un kaléidoscope, créant une nouvelle combinaison, un nouveau sens..
Des textes qui parlent d'amour, car l'amour prétend nous raconter toujours du nouveau, mais il est comme le kaléidoscope : chaque tour nous présente une configuration nouvelle, et cependant ce sont les mêmes éléments qui passent toujours sous nos yeux.
De Marivaux à la Nouvelle Vague, se dessine en filigrane une figure amoureuse intemporelle, résistant à l'espace, au temps, aux individus eux-mêmes.
Un jeu d'échos, de contrastes, un chant commun de tous les auteurs et acteurs, malgré leurs voix disparates. Ce spectacle se présente comme la métaphore de la longue chaîne d'équivalence liant tous les amoureux du monde.
Des textes de Marivaux et Ovide, Barthes, Rohmer et Truffaut joueront le jeu de cette illusion d'optique, ils affirmeront et se répondront, entrelacés et liés comme les reflets dans un kaléidoscope, créant une nouvelle combinaison, un nouveau sens..
Des textes qui parlent d'amour, car l'amour prétend nous raconter toujours du nouveau, mais il est comme le kaléidoscope : chaque tour nous présente une configuration nouvelle, et cependant ce sont les mêmes éléments qui passent toujours sous nos yeux.
De Marivaux à la Nouvelle Vague, se dessine en filigrane une figure amoureuse intemporelle, résistant à l'espace, au temps, aux individus eux-mêmes.
Un jeu d'échos, de contrastes, un chant commun de tous les auteurs et acteurs, malgré leurs voix disparates. Ce spectacle se présente comme la métaphore de la longue chaîne d'équivalence liant tous les amoureux du monde.
LE JEUDI 8 AVRIL A GARE AU THÉÂTRE
AVEC LES ÉLÈVES DE LA PROMOTION 2009/2010 !
AVEC LES ÉLÈVES DE LA PROMOTION 2009/2010 !
Dans le cadre du festival Histoires à emporter, le Studio de Formation Théâtrale est heureux de vous convier à la présentation des travaux d'élèves.
J’entends quelqu'un
qui se moque
Atelier dirigé par Joachim Salinger
et
Travail vocal : Anne-Sophie Durand ;
Cascades et acrobaties : Clément Victor ; Assistanat : Stéphanie Aflalo ;
Régie son et lumière : Frédéric Mauvignier et François Pelaprat.
Avec les élèves de première année du Studio de Formation Théâtrale.
Une ballade à travers la jeunesse et ses différents âges, ses diverses postures.
Une traversée du répertoire, désordonnée, intime et singulière.
Un lieu unique, intime et universel, la chambre.
Des chansons populaires, mais de maintenant ou presque.
Pas de nostalgie. Du ridicule, de la grandeur, de l'engagement.
Des jeunes gens qui vont tenter de vous dire quelque chose de leur âge.
Une voix s’élève et elle donne vie à mille autres voix. Ce sont celles des hommes et des femmes qui ont peuplé son enfance dans une campagne reculée. Une soeur qui a des complexes, un père qui ne dit rien, une grand-mère qui radote...
Mais aussi une boulangère qui dévore les enfants des yeux, des jeunes gens qui se plaisent, une marchande colérique, des voisins qui ne se comprennent pas...
Une fête d’anniversaire, un repas de famille, une tombola ou simples rencontres fortuites, ces instants du quotidien entre tendresse et profonde mélancolie parlent de ces petites gens avec une certaine drôlerie mais sans complaisance.
“Ma Solange, comment te dire mon désastre Alex Roux” recrée l’atmosphère si particulière de ces villages retirés, où les drames et les désastres ne sont jamais aussi triviaux qu’ils ne le paraissent.
et
Travail vocal : Anne-Sophie Durand ;
Cascades et acrobaties : Clément Victor ; Assistanat : Stéphanie Aflalo ;
Régie son et lumière : Frédéric Mauvignier et François Pelaprat.
Avec les élèves de première année du Studio de Formation Théâtrale.
Une ballade à travers la jeunesse et ses différents âges, ses diverses postures.
Une traversée du répertoire, désordonnée, intime et singulière.
Un lieu unique, intime et universel, la chambre.
Des chansons populaires, mais de maintenant ou presque.
Pas de nostalgie. Du ridicule, de la grandeur, de l'engagement.
Des jeunes gens qui vont tenter de vous dire quelque chose de leur âge.
Gare au Théâtre
13, rue Pierre Sémard, Vitry-sur-Seine, RER C, Gare Vitry-sur-Seine, train ROMI ou MONA Tarif plein : 6 euros ; tarif réduit : 3 euros
Ma Solange, comment t'expliquer
13, rue Pierre Sémard, Vitry-sur-Seine, RER C, Gare Vitry-sur-Seine, train ROMI ou MONA Tarif plein : 6 euros ; tarif réduit : 3 euros
DÉCEMBRE 2009
Le Studio de formation théâtrale
présente
Ma Solange, comment t'expliquer
mon désastre, Alex Roux
De Noëlle Renaude
Atelier dirigé par Jean-Louis Jacopin
Mais aussi une boulangère qui dévore les enfants des yeux, des jeunes gens qui se plaisent, une marchande colérique, des voisins qui ne se comprennent pas...
Une fête d’anniversaire, un repas de famille, une tombola ou simples rencontres fortuites, ces instants du quotidien entre tendresse et profonde mélancolie parlent de ces petites gens avec une certaine drôlerie mais sans complaisance.
“Ma Solange, comment te dire mon désastre Alex Roux” recrée l’atmosphère si particulière de ces villages retirés, où les drames et les désastres ne sont jamais aussi triviaux qu’ils ne le paraissent.
JUIN 2009
En juin 2009, deux ateliers rassemblant les élèves des promotions 2 et 3 du Studio de Formation Théâtrale ont été présentés:
Hagen ou l'hymne à la haine
de Janos Terey
Mis en scène par Florian Sitbon
Création en France de ce texte hongrois.
Les 11 et 12 juin 2009 au Théâtre DEJAZET
L'anniversaire de Faustine
de et mis en scène par Elizabeth Mazev
JUIN 2008
2e année - Travail dirigé par Florian Sitbon
Peanuts
de Fausto Paravidino
Fausto Paravidino, né à Gènes, est un jeune auteur italien qui a stupéfié l’Italie par l’étendue de son talent, proposant dans ses textes une approche percutante de l'actualité en fustigeant notamment le libéralisme à tout crin. Peanuts a été inspiré par la répression qui s’est abattue sur les manifestants altermondialistes lors du sommet du G8 à Gênes au printemps 2001. Répression illustrée par la mort du jeune Carlo Giuliani, tué par un carabinier. Peanuts n’a pas pour objet précis le sommet du G8. Mais la pièce traite davantage les problèmes soulevés par ces événements, les facteurs qui les ont permis. Elle se concentre sur une bande de copains, en amont et en aval du sommet. Elle est écrite en courtes scènes, comme les planches de la bande dessinée Peanuts, dont les personnages sont des avatars. La recette est surprenante, mais le résultat est remarquable : les répliques incisives, les jeux d’écho et de contrepoint entre les scènes des deux parties, l’humour côtoyant toujours l’horreur quotidienne ou policière. Une pièce qui fait rire... et qui fait peur.
Avec les élèves de deuxième année du Studio de Formation Théâtrale :
Yorick Adjal*, Christine Armanger de Ruem, Claude Chalopin, Catherine Decastel,
Typhaine Duch, Pierre-Quentin Faesch, Dimitri Gérard, Marie Hammond, Francesca Pedretti,
Céline Romand, Jérémie Ruiz-Jimenez, Jérome Wirtz* (*élève de première année).
Le texte de la pièce est édité à L'Arche éditeur.
Le 17 et le 18 juin à 19h ; le 19 et le 20 juin à 21h au Lavoir Moderne Parisien.
1re année - Travail dirigé par Camille Chamoux
Carthage encore
de Jean-Luc Lagarce
Des hommes et des femmes sont enfermés dans un endroit ou stagnent leurs rêves et leurs envies, ou plutôt le souvenir de leurs rêves defunts.
Par la radio s'immisce l'univers du dehors, et le monde extérieur où semble se préparer un avenir meilleur… mais meilleur pour qui, pour quoi ?
C'est ce que personne ne semble plus comprendre, les fantasmes balnéaires et les rêves révolutionnaires se mêlant en une évocation finalement inquiétante.
Un monde meilleur se prépare dehors… la brèche est ouverte, qui permet d'y accéder, mais elle se referme a la vitesse des idéaux qui périment…
Tergiversations et absence de solidarité rendent le départ impossible.
Ce travail, avec des jeunes entre 18 et 25 ans, nous l'avons axé autour de la fin des utopies et de ce qui reste, aujourd'hui, du souvenir des idéaux des années soixante- la trace de mai 68, ce qu'ils en savent, aussi confus que ce soit, ce qu'ils en connaissent et ce qu'il en reste…
Cette matière, improvisée, imprègne la façon dont nous présentons aujourd'hui le texte de Lagarce. Son premier texte, écrit quand il avait vingt ans, comme eux.
Camille Chamoux.
Par la radio s'immisce l'univers du dehors, et le monde extérieur où semble se préparer un avenir meilleur… mais meilleur pour qui, pour quoi ?
C'est ce que personne ne semble plus comprendre, les fantasmes balnéaires et les rêves révolutionnaires se mêlant en une évocation finalement inquiétante.
Un monde meilleur se prépare dehors… la brèche est ouverte, qui permet d'y accéder, mais elle se referme a la vitesse des idéaux qui périment…
Tergiversations et absence de solidarité rendent le départ impossible.
Ce travail, avec des jeunes entre 18 et 25 ans, nous l'avons axé autour de la fin des utopies et de ce qui reste, aujourd'hui, du souvenir des idéaux des années soixante- la trace de mai 68, ce qu'ils en savent, aussi confus que ce soit, ce qu'ils en connaissent et ce qu'il en reste…
Cette matière, improvisée, imprègne la façon dont nous présentons aujourd'hui le texte de Lagarce. Son premier texte, écrit quand il avait vingt ans, comme eux.
Camille Chamoux.
Avec les élèves de première année du Studio de Formation Théâtrale :
Yorick Adjal, Fitzgerald Berthon, Quitterie de Blignières, Ludovic Charrier, Lise Chevalier, Ivelina Ivanova, Pauline Mongin, Gregory Oliver, Elisa Ruschke, Jérome Wirtz et Karima Zerabib.
Le 17 et le 18 juin à 21h ; le 19 et le 20 juin à 19h au Lavoir Moderne Parisien.
